Blog d'une rousse coquine en bas coutures
Blog d'une rousse coquine en bas coutures et hauts talons
Le 29/09/2025
| Sublime mais aussi coquine. | 
Note:
Ce site est en construction, les illustrations ains que les articles complets vont suivrent sous peu.
Je suis une rousse très coquine, ce qui ne veut pas dire que je suis une fille facile, mais je succombe facilement aux charmes masculins ou même féminins.
J'adore porter des vêtements chics et élégants, tels que des tailleurs, des jupes crayon, des petites jupes plissées ou même des mini-jupes.
Toujours en jupe dévoilant mes longues jambes gansées dans du fin nylon, campées dans de hauts escarpins aux talons vertiges.
P.S.:
Je n'arrive pas à ordonner les photos comme j'aimerais, si quelqu'un sait comment faire, dites-le moi.
Peut-etre que 'Blogs.fr' pourrait m'aider?
Coquine ? Témoignage
Le 26/09/2025
| je fus ravi de découvrir sa mini-jupe dorée. | 
C'était une rousse à la chevelure ondoyante, elle portait un manteau en lainage bleu clair s'ouvrant sur une tenue dorée.
De son manteau s'échappaient des jambes gainées de Nylon noir, campées sur de très hauts escarpins bleu roi.
Elle se tourna vers le portemanteau et je fus ébahis de voir qu'elle portait des bas couture.
Mes yeux parcouraient de haut en bas ces lignes divines et lorsque'elle ota son manteau je fus ravi de découvrir sa mini-jupe dorée.
La jupe était très courte et arrivait au ras des revers de ses bas, et lorsqu'elle se pencha, les revers moirés de ses bas brillaient de mille éclats.
Elle s'assis et, fantastique, elle croisa les jambes, vison de réve !
J'étais aux premières loges, mes yeux dévoraient du regard ces jambes de rêve gainées de soyeux nylon irisé.
Elle balançait sa jambe et son talon sortait de l'escarpin, tenu que par le bout de son pied.
Vision de rêve, divin !
Je pénétrai dans la jupe, remontant la couture jusqu'au revers moiré de ses bas, la lumière irisait cette vision de rêve.
Je contemplais l'oeillet que fait la couture en haut du bas, elle se caressait la cuisse, c'était très excitant, je n'en pouvais plus.
Et puis d'un seul coup, elle décroisa les jambes et les mit serrées l'une contre l'autre, déception !
Mais elle écarta ses jambes, exhibant son entrejambe, mais oui, c'est une vraie rousse !
On aurait dit qu'elle me lançait un bisou, serait-ce une invitation ?
Elle se leva, marcha vers moi en tapotant des doigts sur la table au passageje la regardait avancer je parcourais les coutures de ses bas de bas en haut.
Coquine ? Confession
Le 26/09/2025
| Invitation ? | 
J'entrais dans un càfé pour déguster un verrre de vin.
Mes talons claquaient sur le carrelage, ce qui attisait le regard des hommes.
J'adorais les voir, la langue pendante, me dévorer du regard.
J'ôtais mon manteau, découvrant ma mini-jupe dorée bordant mes longues jambes gainées de bas coutures.
Campée dans mes escarpins vertiges bleu roi, je me dirigeais vers une table libre et m'assis à une table attendant un serveur pour passer commande.
Assise, je contemplais la salle et observais les clients, un beau gosse n'était pas très loin.
"Hum, hum, en voilà un qui ferait bien mon affaire" pensais-je.
J'entamais les premières approches, croisant les jambes bien haut, la main sur le genou remontant sur la cuisse.
Je pense qu'il m'avait remarqué aussi, je continuais mon attaque de plus belle.
Je balançais ma jambe en laissant pendouiller mon escarpin du bout du pied.
.
.
Finalement je lançais l'assaut final, je décroissais les jambes, à son grand désarroi.
Et j'écartais les cuisses et, et là, retour au bonheur, il découvrait que j'étais une vraie rousse !
Je me levais et me dirigeais vers le fond de la salle, au passage je tapotais sur sa table.
Il tourna la tête observant les coutures de mes bas qui dansaient au rythme de ma démarche chaloupée.
Il se leva, me suivit, je l'attendais en bas, il poussa la porte et entra.
Je lui souriais, il approchait, il posa ses mains sur ma taille et glissa vers mes cuisses, là il retroussa ma jupe et caressa mes jarretelles.
Je m'attendais à un grand coup de butoir m'empalant violemment, mais au lieu de cela il s'agenouilla.
Ses mains remontaient ma jupe, découvrant ma toison cuivrée, il y posa ses lèvres et m'offrit un baiser, hum excitant !
Du bout de sa langue, il explora soigneusement tous les recoins de ma vulve.
Je frétillais au passage de sa langue entre mes lèvres, il contournait mon clitoris en appuyant du bout de sa langue.
Il remontait lentement, délicatement, mon calice et pénétra ses doigts caressant le velours des parois de mon antre humide.
Ses caresses incessantes et les intentions délicates de sa langue commençaient à échauffer, je respirais fort en gémissant légèrement.
Un gars entra, il s'arrêta, regarda puis alla à l'urinoir et retourna, puis une femme qui ne nous prêtait pas plus attention.
Ses doigts lissaient les parois de mes entrailles et sa langue travaillait âprement mon capuchon.
Ma respiration était de plus en plus saccadée et le plaisir montait en moi, je gémissais de plus en plus fort.
Une femme entra, je hurlais, l'orgasme éclatait en moi, j'étais submergée de plaisir, la jouissance était totale.
La femme souriait en partant, moi j'haletais reprenant mon souffle peu à peu, j'étais béate, souriant les yeux dans le vide.
Bon dieu, que c'était bon, je m'accroupis, dégrafa sa ceinture et ouvris son pantalon, je dégageais son membre bien raide et gonflé.
Accroupie, ma jupe s'était retroussée découvrant le haut de mes bas et mes jarretelles, une bonne fellation agrémentée du spectacle de mes dentelles et du nylon chatoyant de mes bas, voilà de quoi ravir notre homme.
Il caressait ma crinière et rabattait mes cheveux pour mieux jouir du spectacle, je m'enfonçais sur le pieu jusqu'à la gorge.
Ma langue tournoyait autour du membre fièrement dressé, j'aspirais jusqu'à gober le sexe presqu'en entier.
Je montais, descendais le long du membre puis tournoyant autour du gland, je m'attardais autour du frein, ma langue acérée le harcelant.
Puis, il se dégagea et me plaqua sur le plateau du lavabo mes main empéchaient ma tête de coller au plateau.
Il ouvrit mon anus pour y pénétrer profondement.
Il posa son gland sur mon anus, puis s'enfonça doucement jusqu'au fond.
Je geignais de plaisir, il avançait et reculait me ramonant consciencieusement.
Plus il bougeait, plus je jouissais, je grondais de plaisir.
Et lorsqu'il m'inonda d'un copieux jet de sa semence, je ne pus m'empêcher de hurler.
Il se dégagea et je restai pantelante, couchée sur la table.
Nous sortîmes des toilettes.
Il me fit signe de passer devant.
Je vous en prie
Merci
C'est toujours un plaisir de vous suivre.
Arrivé à ma table j'enfilais mon manteau, mais avant de partir j'allais le voir.
- Merci, c'était fantastique, fabuleux, c'était vraiment incroyable, rarement j'ai eu de telles sensations mais la prochaine fois j'aimerai sentir votre semence couler au fond de ma gorge, au revoir, bisous et à bientôt.
Il me regarda partir scrutant une dernière fois mes coutures qui oscillaient au rythme de mes pas.
J'étais pressée, j'avais une réunion avec un cabinet de publicité. En fait, c'est ce qu'on appelle un brainstorming : pour trouver des noms de produit, on lance des mots tour à tour jusqu'à ce qu'on trouve un nom attrayant.
C'était dans un grand hôtel parisien, je marchais à bon pas, mes talons claquaient sur le pavé humide, et je fus repéré par un mateur, il emboîta mon pas.
Je sentais son regard fixé sur les coutures de mes bas et mes hauts talons, je ne sais pas pourqoi mais tout ceci m'excitait.
Nous marchions depuis dix bonnes minutes lorsque nous arrivâmes à un escalier mécanique.
Je sentais qu'il se ravissait de la vision lors de la montée, arrivée en haut je me décidais à l'aborder.
Mais je le vis s'éloigner à grande vitesse, je compris vite en touchant ma jambe.
Le salopard avait giclé un gros paquet de sa semence sur ma jambe !
Je passais ma main et l'approchais de mon visage, elle était pleine de sperme, quelle odeur! Je lâchai ma main.
Abruti ! T'as raté quelque chose, j'étais forte déçue et continuais mon chemin.
Farouche ? Pas du tout
Le 06/10/2025
| À la réunion brainstorming. | 
Après quelques heures de travail, le boss nous invita à s'asseoir autour de la petite table où étaient dressés divers canapés et champagne.
J'étais sur le canapé entourée du boss et d'un de ses collaborateurs, en face sur des fauteuils mon collègue et l'autre collaborateur.
Les deux gars assis sur les fauteuils dévoraient des yeux le haut de mes bas sous ma jupe, je décroisais les jambes et écartais les cuisses dévoilant mon pubis à la toison rousse.
Je crois que le spectacle les ravissait vu leurs sourires béats.
Le boss assis à côté de moi passa ma main sur ma cuisse, retroussant ma jupe et carressant la jarretelle.
- "Eh bien ! Mon gars", s'adressant à mon collègue, "Canon ta collègue", tu ne dois pas t'embêter au boulot.
Sa main remontait sous la jupe de plus en plus haut et ses doigts massaient de bas en haut l'entrée de mon calice, je commençais à mouiller.
Il pénétra dans mes entrailles, caressant les parois humides de ma vulve, puis il s'agenouilla.
Sa bouche s'immisça entre mes cuisses et sa langue glissait entre mes lèvres, son collaborateur approcha son membre fièrement dressé.
Ma bouche tournoyait autour du gland, ma salive coulait le long de sa hampe.Puis le gars se leva et s'assit à côté, il me prit par la taille et empala mon corps sur son pieu.
- Allez les gars, y'a encore de la place !
L'autre collaborateur se leva en se tenant la queue et vint l'enfoncer dans mon corps.
Finalement le quatrième, mon collègue s'avança et me donna son membre à sucer.
Mais l'autre était toujours à côté, j'avais donc deux verges à m'occuper!
Je passais de l'une à l'autre, chacune étant aussi bonne que l'autre, puis je les avalais toutes deux.
Et les deux verges me pilonnaient toujours ardemment par les deux trous, le plaisir me pénétrait de partout.
Ma langue tournoyait autour des deux sexes, ma bouche était remplie de désir, il me semblait que les membres étaient de plus en plus gros, ma bouche allait déborder.
J'étais transportée, je ne savais plus où j'étais et lorsque qu'ils m'ont inondée de leurs semences, je fus au nirvana.
Le sperme coulait à flot hors de ma bouche, les deux gars hurlaient de plaisir.
Ils continuèrent à m'arroser copieusement, mon visage était maculé de nectar.
Ils continuèrent à m'arroser copieusement, mon visage était maculé de nectar.
J'hurlais le plaisir était à son comble, surtout lorsque le flot copieux des deux membres remplit mon corps.
Je n'en pouvais plus, je repris mes esprits peu à peu, j'haletais.
Nous savourions des toasts arrosés de champagne, je décidais de partir.
- Oh là ma belle, tu ne vas pas partir sur un pied! Encore une tournée.
- Allez, mets-toi là.
Il me poussa sur le fauteuil, les mains sur le dossier.
- On va faire une petite tournante les gars, chacun son tour, chacun son trou !
- Aller, je commence, il posa son gland gonlé sur mon anus ett enfonça délicatement son pieuµ.
Il s'enfonça profondément, se retira et renfonça.
- Ah qui le tour !
Mon collégue arriva la bite à la main et il me pénétra par la vulve, je gémis.
Et tour à tour, trou à trou, ils me défoncèrent, c'était étourdissant, chaque pénétration était un délice, mes gémissements s'amplifiaient.
- J'ai l'impression qu'elle aime ça, la rouquine!
Et ils giclèrent chacun leur tour, ma toison était couverte de sperme, les dentelles de ma guêpière décorées!
Je demandais aux gars de nettoyer leurs saloperies, ils le firent avec leur langue, puis je partis.
Je marchais vers chez moi et toujours le claquement de mes talons sur le bitume résonnait dans la nuit.
Lorsqu'un gars assis sur un banc me héla, une bouteille à la main.
- Ho là, belle jeune fille, tu ne veux pas t'asseoir à côté de moi pour me tenir compagnie ?
Ce n'était pas un SDF malodorant mais au contraire, un beau jeune en tenue de soirée.
Intrigée, je vins vers lui, il me tendit sa bouteille de champagne, "T'en veux un coup ma belle ?".
- Qu'est-ce que tu fais là sur ce banc tout seul ?, J'attrapai la bouteille et en avalais une goulée, j'étais déjà bien allumée mais pas autant que lui, apparemment.
Nous discutâmes un long moment, parlant des étoiles de la vie, de ma vie, de sa vie, de tout et de rien.
Puis il me dit "Tu es vraiment très belle" en m'attrapant par le cou.
Ses lèvres effleurèrent les miennes, sa langue s'enlaça dans la mienne, un grand baiser nous emporta.
Ses mains parcouraient mon corps, il me caressait la poitrine avec ferveur, il m'embrassait divinement.
Puis il glissa sa main sous ma jupe, remontant jusqu'aux lèvres qu'il caressait du bout des doigts.
Il ouvrit son pantalon, sortit son sexe et l'approcha de ma vulve pour me pénétrer, mais en vain.
- Oh putain! Je suis tellement bourré que je n'y arrive pas!
- Je suis désolé ma belle.
- Ce n'est pas grave, ça ira mieux un autre jour.
- Mais c'est maintenant que je veux t'honorer.
- Ne t'inquiète pas, je vais arranger ça, et il prit la bouteille, arracha la feuille d'aluminium du goulot.
- Et voilà !
Il posa le goulot contre ma vulve et tournait doucement, en même temps il léchait l'orifice avec sa langue en bavant copieusement.
La bouteille entrait tout doucement et je dois dire que ce n'était pas désagréable.
Il enfonçait peu à peu la bouteille, puis la glissait vers le haut et recommençait, sa langue me léchait toujours la vulve.
Plus il bougeait, plus je jouissais, c'était de mieux en mieux, de plus en plus fort.
Je gémissais très fort et soudain éclata l'orgasme, fantastique explosion de plaisir, j'hurlais de tout mon corps.
J'étais pliée en deux, haletante, mon corps n'était plus que jouissance, plaisir.
- Eh bien beau gosse, je vais rentrer, à une autre fois, j'ai hâte de te sentir dans mon corps l'emplir de ta chaude semence.
Je posais un baiser sur ses lèvres et disparus.
Insensible aux charmes féminins ? Sûrement pas
Le 09/10/2025
| Assise avec une cigarette. | 
La première portait une jupe de cuir noire très moulante assez courte et une tunique tenue par de fines bretelles, le haut de ses bas apparaissait au bas de la jupe.
Les deux collaboratrices, l'une avait une mini jupe plissée noire montée sur de grandes cuissardes à hauts talons et l'autre une jupe crayon en coton très fin, si fin qu'il en était transparent, les jarretelles y dessinaient leurs dentelles.
Elles portaient une petite veste en laine noire effilochée genre Chanel,l'autre un petit blouson en denim rose.
Après une petite heure de travail, la responsable se leva et proposa :
- On va faire une petite pause, elle se posa contre son bureau face à moi.
Sa courte jupe révélait le haut de ses bas, et elle la remonta découvrant ses jarretelles de dentelles noires.
Elle me souriait et, sans dire mot, elle dégageait sa culotte, arborant sa toison noire qui ornait sa vulve.
Je compris ce qu'elle voulait, je me levais et m'agenouillais.
je m'approchais, me léchais les doigts et les appliquais sur son sexe puis avncant la te je passais ma tête entre ses cuisses.
Mes lèvres posées sur son vagin, ma langue commença à la lécher, elle eut un léger gémissement, elle commençait à apprécier la chose.
Ma langue virevoltait autour de ses lèvres, elle gémissait et attrapa ma tête pour l'appuyer contre elle.
Je léchais consciencieusement tous les recoins de sa vulve, les deux collaboratrices me câlinaient en même temps, l'une me caressait les seins, l'autre léchant mes fesses et introduisant un doigt dans mon anus.
Plus je léchais, plus elle gémissait fort, je remontais de la langue les interstices des lèvres puis j'attaquais son capuchon.
Mes doigts pénétraient son antre, lustrant les parois de velours humide.
Ma langue gourmande aurait raison de son clitoris, je crois que je vais le faire éclater de plaisir.
Elle se cabrait laissant sa tête tomber en arrière.
Et l'orgasme éclata, elle tomba en pâmoison dans un coma orgasmique, des spasmes parcouraient son corps.
Une fois ses esprits recouvrés, elle nous convia à s'installer sur le canapé au fond de la salle.
- Je vais aller nous chercher un petit verre, des bulles, ça vous ira ?
Nous étions assises toutes les trois côte à côte, la fille à mes côtés commença à me caresser, glissa sa main dans mon chemisier et me plota les seins.
Une fois ses esprits recouvrés, elle nous convia à s'installer sur le canapé au fond de la salle.
- Je vais aller nous chercher un petit verre, des bulles, ça vous ira ?
Nous étions assises toutes les trois côte à côte, la fille à mes côtés commença à me caresser, glissa sa main dans mon chemisier et me plota les seins.
Très vite je me retrouvais tête-bêche avec elle, ma tête au-dessus de la sienne et aussi de l'autre fille.
Vue très appétissante, les quatre cuisses écartées exposaient leurs vulves aux toisons bouclées, bondes ou brunes.
Leur cuisses étaient gansées de fins Nylons, l'un noir, l'autre brun. Je glissais ma main sur le Nylon caressant cuisses et jarretelles.
Le Nylon brillait en auréoles irisées sur leurs cuisses bronzées, mes mains lissait le Nylon et les dentelles des jarretelles.
Mes mains s'immisçaient entre leurs cuisses, pénétrant leur calice, carressant les parois de velours de leur pubis.
La fille avait pris à pleine bouche mon sexe, léchant les lèvres tout en les aspirant, sa langue contourait mon clitoris.
La responsable s'était assise à côté de moi, elle carressait mes fesses puis les léchait, ses doigts s'enfournaient dans mes entrailles.
Les doigts de ses deux mains farfouillaient dans mon trou, comme pour l'agrandir, c'était assez jouissif.
Mellé aux attaques de la collaboratrice dans mon calice, je commençais à frissonner de plaisir.
Mais j'avais face à moi deux appétissantes moules de choix que je dégustais avec apétit.
Elles geignaient de plus en plus fort, l'exultation était proche de l'éclatement.
Ma langue glissait de l'une à l'autre ainsi que mes doigts, elles étaient toutes deux proches de l'extase.
Les doigts de la responsable s'enfonçaient de plus en plus profondément, sa langue pénétrait mon anus, sa salive coulait sur la raie entre mes fesses.
La fille sous moi dévorait mon capuchon, sa langue pointue glissait entre mes lèvres.
Je sentis une boule de feu monter dans mon ventre, j'étouffais un cri, un orgasme puissant éclata, et les deux filles en même temps sombrèrent dans le délice.
Toutes haletaient, toutes parcourues de spasmes, le plaisir était absolu.











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Effectivement très coquine cette sublime rousse ... de plus, savoir qu'elle succombe facilement aux charmes masculins mais aussi féminins est très excitant! Quelques récits coquins nous ferait plaisir et fantasmer pour l'imaginer en pleine action ...